Nos demandes
En conclusion, nous demandons donc :
- Une analyse dissociée de l’impact du nouveau moteur de calcul et d’un PEF de l’électricité à 2.3 sur la répartition du parc existant dans les différentes catégories du DPE, et notamment sur les passoires thermiques
- Un recalage des classes de l’effet des 2 usages supplémentaires
- Le maintien de l’énergie primaire comme mode d’affichage du DPE
- La définition du seuil des passoires thermiques à 331 kWhEP/m2.an (avant application du point 2 précédent) et l’ajout d’un indicateur supplémentaire « garde-fou » en énergie finale, par exemple 260 kWhEF/m².an